Quel logiciel de caisse enregistreuse choisir ?
Que ce soit pour une caisse enregistreuse tactile professionnelle, pour un PC Windows ou un Apple Mac / MacBook, ou pour un iPad /
tablette Android.
Chaque système d'exploitation, chaque navigateur web, et maintenant chaque mobile, Google acceptant des "surcouches graphiques" des constructeurs sur les smartphones Android, propose sa propre interface, avec son propre jeu de contrôles (listes, menus déroulants, tiroirs...).
Cela donne une identité forte à chaque couple système/appareil, mais en contrepartie, un temps d'adaptation est nécessaire chaque fois que l'on change d'appareil. Ce n'est pas bien important quand on ne change de système que tous les 4 ou 5 ans...
Mais dans un commerce où chaque vendeur peut utiliser un mobile pour travailler, le sien ou un autre, puis basculer sur la caisse tactile centrale, une tablette, etc., ce temps d'adaptation n'est pas le bienvenu. D'autant que pour que les stats soient justes et la traçabilité efficace, il faut que chaque vendeur puisse utiliser un appareil qui lui est propre.
S'il l'oublie, s'il y a une panne, il doit pouvoir en utiliser un autre sans temps d'adaptation, quel que soit son système d'exploitation.
→ plus
 A quoi cela peut-il bien servir ?!
melkal est un logiciel de caisse et de gestion de commerce qui a la particularité de fonctionner sur quasiment tous les appareils connectés, quel que soit la marque, la taille, la puissance, ou le système d'exploitation. Du PC au smartphone (Android, Apple IOS, Windows Phone, Blackberry, Firefox OS, Tizen...), en passant par la caisse tactile, le Mac, Linux, les tablettes, et donc les montres connectées Android (avec le navigateur web WIB) !
Pour qu'il soit facilement utilisable sur petit écran (smartphones, iPod, et montres), il bénéficie d'une interface innovante totalement conçue pour les petits écrans.
Non seulement melkal est utilisable sur une montre, mais il l'est surtout entièrement ! De la saisie d'une vente à la clôture de caisse, jusqu'à la consultation des PDF de x/z de caisse, en passant par la création d'articles, de clients, etc.
Bien sûr, le logiciel n'est pas aussi pratique à utiliser que sur un smartphone, l'écran étant bien plus petit, mais la montre reste intéressante dans plusieurs cas, prenons quelques exemples :
→ plus
 Matthew Brown a écrit récemment un article intéressant sur PFS Web. Ce billet présente 6 incidences du "showrooming" sur l'activité du commerce de détail. Le showrooming a plusieurs facettes, mais on emploie généralement ce terme pour expliquer cette nouvelle tendance des clients à se déplacer dans un commerce physique pour regarder, tripoter, et essayer les produits ...sachant qu'ils ne l'achèteront pas ! Comme dans un show-room donc. Le but étant parfois de découvrir des produits ...puis de les acheter sur le web ou ailleurs !
Ce n'est pas si nouveau me direz-vous. Oui, mais le web et surtout les smartphones ont énormément amplifié le phénomène. Bien sûr, il n'y a pas que le showrooming subi, de nouveaux types de commerces et de synergies web/commerce physique se créent à partir de cette nouvelle pratique, mais nous allons nous concentrer dans cet article sur les aspects négatifs et les manières de le neutraliser au moins en partie.
→ plus
D'après la cour de justice de l'Union Européenne, suite à une plainte (rejetée) de l'éditeur bien connu Oracle, un éditeur ne peut pas empêcher un de ses clients de revendre ses licences de logiciels. C'est un véritable séisme pour les éditeurs de logiciels, y compris bien sûr les logiciels de caisse.
Comment cela se passait-il jusqu'à présent ? Pour faire simple, l'acheteur du logiciel n'achetait en fait qu'une licence d'utilisation, dont l'éditeur du logiciel pouvait fortement limiter les possibilités. L'acheteur n'en est d'ailleurs pas souvent conscient... Il croit acheter un logiciel, comme il achèterait une calculatrice par exemple, mais non, il n'achète en fait qu'un droit d'utilisation limité ! Ainsi, dans la très grande majorité des cas, il n'a même pas le droit de revendre son propre logiciel, puisqu'en fait il ne lui appartient pas, il a uniquement une licence d'utilisation, "non cessible".... Révoltant ? oui...
→ plus
Michael Della Penna vient d'écrire un billet sur les conditions de réussite du paiement mobile. Dans son article, il en profite pour présenter un exemple de processus d'achat dans un magasin, qui utiliserait bien sûr le mobile. Mais cet exemple est intéressant à d'autres titres. Mélangeant en effet marketing, paiement mobile, et cross-canal, le cheminement d'achat présenté devrait se retrouver assez rapidement dans la réalité d'aujourd'hui ....d'autant que vous allez être surpris, le processus présenté ne faisant finalement appel qu'à des technologies déjà présentes aujourd'hui et d'un coût lui aussi déjà abordable.
Assez de digressions, attaquons de suite ce processus d'achat en l'étoffant et en expliquant ses ressorts :
 1) Vous profitez du beau temps et de ce magnifique printemps pour vous balader en centre-ville. En passant devant votre magasin de produits high-tech favori, vous recevez une notification sur votre mobile, vous indiquant que vous avez droit à une remise de 10% sur l'achat d'un téléviseur LCD.
2) Intrigué, d'autant plus que vous êtes un fan de tennis et que le tournoi de Rolland-Garros arrive à grands pas, vous entrez dans le magasin pour voir les fameux téléviseurs. Flairant une mauvaise affaire, vous vérifiez rapidement sur votre mobile que le prix proposé, même avec une remise de 10%, est bien un bon prix, grâce à votre comparateur express. Vous trouvez moins cher sur le net, mais l'offre de votre magasin favori est quand même honnête, d'autant que vous aimez bien le personnel de ce commerce.
→ plus
Choisir un logiciel de caisse n'est pas si évident, car chaque commerçant a finalement des besoins assez simples, mais qui lui sont propres ! La tentation peut être grande de choisir un logiciel basique en se disant que de toute façon on n'a pas besoin de grand-chose.. C'est souvent trompeur et cause de soucis par la suite.
Évidemment, un logiciel basique peut être tout à fait adapté à vos besoins, mais il faut le vérifier avant de l'acquérir. Je reçois quasiment tous les jours des courriers de lecteurs mécontents (pour être poli...) par le manque de fiabilité de leur logiciel de caisse ou de gestion de magasin, la pauvreté fonctionnelle de leur solution, le fait que leur logiciel n'évolue plus vraiment depuis longtemps, qu'il n'est pas ou plus compatible avec la législation fiscale française, que le SAV est déplorable ou très cher, ou que leur logiciel est inutilement lourd et complexe à utiliser... Le souci est que nombre de ces problèmes ne se voient pas immédiatement lors d'un essai.
Commençons par les problématiques communes à tous :
- Choisissez un logiciel avec lequel vous vous sentez vraiment à l'aise, c'est important. Il faut que le logiciel vous corresponde.
- Idem avec l'éditeur : il faut que le contact se passe bien, que vous n'ayez pas l'impression qu'on essaye de vous embrouiller, mais que vous sentiez que votre interlocuteur parle le même langage que vous, qu'il soit attentif à vos besoins, et finalement que vous vous sentiez vraiment à l'aise avec lui, le contact humain est important !
- Vérifiez que l'éditeur du logiciel est bien domicilié en France (RCS ou SIRET vérifiable sur infogreffe.fr), c'est primordial, car en cas de problème (technique, fiscal...), il faut que vous puissiez vous retourner contre lui.
- Privilégiez un logiciel de caisse expérimenté, qui existe depuis plusieurs annėes et qui est utilisé par de nombreux commerçants. D'expérience, je n'ai jamais vu un logiciel de caisse efficace dès sa naissance... Il faut plusieurs années pour couvrir les besoins et améliorer le logiciel
→ plus
Le Salon EuroCIS étant vraiment intéressant. Alors que certaines années, on retrouve les mêmes stands et les mêmes produits d'année en année, l'évolution est perceptible cette fois-ci. Mais parlons déjà de l'accueil de nos amis allemands, comme toujours à la fois chaleureux et reposant sur une organisation sans failles.
Que ce soit au niveau des transports ou de l'organisation interne du salon, tout était bien pensé. Seul le WiFi, une fois de plus, était payant et saturé sur le salon... Mais comme souvent sur les salons, il y a une telle concentration de communications qu'il est difficile d'obtenir quelque chose de qualité.
Des centaines de stands d'entreprises proposant des produits de gestion de point vente, les principaux leaders et de nombreuses petites entreprises voulant se faire une place sur le marché européen, bref du beau monde, et un salon assez représentatif du marché européen et de la pénétration toujours plus importante des constructeurs asiatiques.
→ plus
|